l'organisation de la jeunesse pour la réforme et le développement a organisé une journée de solidarité avec les talibés mendiants, ce vendredi 03 juin 2016, dans les locaux de section du parti à sebkha.
l'objectif de cette activité est de soulever les difficultés rencontrés par ces jeunes élèves coranique âgés généralement entre 05 et 15 ans
ces futures éducateurs de la société et gardiens de la traditions sont obligés de mendier pour subvenir à leurs besoins et ceux de leursenseignants, ils ne bénéficient d'aucune subvention de la part de l'état et sont oubliés par les organisation humanitaire.
ceci dit qu'ils sont livrés à eux même et font d'eux la couche la plus marginalisée de la population, en plus leur insertion après ces pénibles études n'est pas certaine et se convertissent souvent en commerçants, une petite minorité réussi à devenir membre actif de la société d'aures deviennent "marbouts"(qui prétendre soigner toutes les maladies, résoudre tous les problèmes, avoir des secrets bref en arnaqueurs déguisés en sauveurs"
selon thierno Aboubacri Diallo ce phénomène est causé par l'attitude des parents des enfant qui ne sont pas prêts à payer pour leurs enfants qui étudient le noble Quour'an ne serait ce que 1000 um par mois, et poutant le font pour ceux qui vont à l'école allant jusqu'à 20 000 um milles.
pire encore ces jeunes gens sont considérés comme des voleurs ou des par beaucoup de personnes; en effet ils ont un risque trés élevé de tombés dans la déliquescence juvénile, être victimes de pédophilie..
partant de ce constat la commission de droit l'homme et des œuvres humanitaire de l'organisation de la jeunesse pour la réforme et le développement:
1. lance un appel à toutes personnes de bonnes volonté pour venir en aide à ces pauvres enfants
2. appel les autorités publiques à prendre leur responsabilité vis à vis des ces futures éducateurs
3 appelle les parents à prendre en charge les études de leurs
enfants
exigent aux enseignants un traitement plus humain pour leurs élèves.
5. demande aux député de porter cette à l'assemblée nationale afin qu'elle soit discutée.