Ce mercredi 11 mai 2016, le parti Tawassoul a organisé une conférence de presse aucours de laquelle le président du parti monsieur Mouhamed Jemil Mansour a fait la déclaration suivante : Cette conférence de presse est tenue dans le but de parler de situation du parti et les crises qui touchent le pays. Tout d’abord, il existe deux camps antagonistes en Mauritanie, l’une lutte pour la démocratie et l’alternance pacifique au pouvoir tandis que l’autre veut la continuité du régime militaire qui gouverne le pays depuis des décennies. Au passage je souligne chacun doit assumer ses responsabilités et les conséquences de ses déclarations, et avoir le courage de s’excuser si celles-ci sont inacceptables. Concernant les crises, le pays vie une crise économique étouffante aux points que même les familles les plus aisées peine à joindre les deux bouts. A cause de la mauvaise gestion, la gabegie qui n’épargne aucune institution de l’état et la corruption. Sur le plan sociale, les crises se multiplient et compliquent allant de l’esclavage à l’état civil en passant par l’esclavage foncier, la situation lamentable des déportés. Tout ceci menace dangereusement l’unité nationale, et pour ne rien arranger, le président de la république insulte toute composante de population à savoir les harratines. En plus le président de l’UPR, s’attaque honteusement au mouvement Mani chari Gasoil, en proférant des insultes odieuses. Quand au parti Tawassoul , il est un projet de société, une idée défendu par des milliers de Mauritaniens et le défendrons toujours, donc impossible de dissoudre. Ceux qui menacent la stabilité du pays sont les membres du régime qui pratiquent la politique de négation vis-à-vis de sérieux problèmes comme l’esclavage, le problème foncier, l’état civil et le chômage et bien d’autres. Ceux qui n’ont pas de programmes pour solutionner les difficultés et s’ils existent ils sont mal appliqués. Nous ne menaçons personne et n’accepterons d’être menacés point à la ligne. Par ailleurs, nous n’allons pas laisser le gouvernement nous distraire des vrais problèmes, à savoir la modification de la constitution, un membre du gouvernement été interrogé par un journaliste au sujet de l’article 99, sa réponse était la suivante « nous ne sommes pas encore prêts par parler de question. En plus le président de la république a annoncer l’éminence d’un dialogue dont les participants et les décisions sont déjà connus et doivent débouchés sur la dissolution du sénat et la création de création de conseils régionaux. En fin nos positions sont claires sur ce sujet : la constitution est une ligne rouge ! et exigeons une position claire par rapport à la question des mandant présidentiels. secretariat national à la communication