Le président mauritanien, Mohamed Ould Abel Aziz, "s’est engagé devant des chancelleries occidentales, dont celle de la France, à ne pas violer la constitution", a rapporté l’hebdomadaire Alakhbar Info dans sa livraison de ce mercredi. Réinvesti le 2 août 2014, Mohamed Ould Abel Aziz s’est engagé de quitter le pouvoir à la fin de son second et dernier mandat qui expire en juillet 2019.
Les articles 26 et 28 de la constitution mauritanienne fixent le mandat du Président à « cinq ans » et précise qu’il est «rééligible une seule fois ».
Des dernières déclarations du président mauritanien, qui se disait disposé à discuter du nombre de mandats présidentiels, avaient suscité des réactions au sein de l’opposition.