L’honorable député MOUHAMED GHOULAM OULD EL HADJ CHEIKH, dénonce des cas de tortures contre des militants de droits de l’homme en prisons.

mer, 01/04/2017 - 16:49

  L'Assemblée Nationale a consacré la séance plénière qu'elle a tenue, mardi soir à Nouakchott sous la présidence de M. El Khalil Ould Teyib, son premier vice-président, à la réponse du ministre de la justice, Me Brahim Ould Daddah sur une question orale présentée par le député Mohamed Ghoulam Ould El Hadj Cheikh.

Dans sa question, le député de TAWASSOUL a rappelé que la Mauritanie a adopté deux lois contre la torture et pour la création d'un mécanisme national de prévention de celle-ci.

Le député et vice président du parti TAW ASSOUL a précisé que malgré ces lois, il continue de voir de manière permanente des phénomènes contraires à l'esprit et aux dispositions desdites lois, comme la bastonnade des citoyens manifestant pour exprimer leurs avis, l'atteinte à leurs dignités personnelles, la pratique de différentes sortes de torture dans les commissariats de police et dans les prisons, notamment contre  les militants de IRA et du mouvement 25 FEVRIER, avec des noms et des description des victimes de traitement inhumain.

Le député poursuit en disant que les pratiques dans les prisons Mauritaniens sont pires que celles des prisons sionistes.  Il fait porter l'entière responsabilité de ces agissements contre les citoyens  au ministre de la justice, et l’accuse d’avoir préféré  sa fonction et le  mensonge à sa dignité et les citoyens.

En effet devant la situation des femmes d’IRA et la torture qu’elles subissent devant le palais de justice on ne peut que vous en êtes le commanditaire

Enfin, et avant de demander le ministre de prendre les mesures adéquates pour punir les coupables dans les cas de torture, le député de TAWASSOUL a dénoncé l’interdiction de visites médicales aux détenus, rappelant c’est u n droit inaliénables de ces derniers.

Dans son commentaire à la réponse du ministre, le vice président du parti TAWASSOUL a soulevé la question des SALAFISTES contre lesquels des cas de tortures sont signalés, considérant  que la dignité humaine doit être respectée quelque soit le crime de la personne en question.

  L'Assemblée Nationale a consacré la séance plénière qu'elle a tenue, mardi soir à Nouakchott sous la présidence de M. El Khalil Ould Teyib, son premier vice-président, à la réponse du ministre de la justice, Me Brahim Ould Daddah sur une question orale présentée par le député Mohamed Ghoulam Ould El Hadj Cheikh.

Dans sa question, le député de TAWASSOUL a rappelé que la Mauritanie a adopté deux lois contre la torture et pour la création d'un mécanisme national de prévention de celle-ci.

Le député et vice président du parti TAWASSOUL a précisé que malgré ces lois, il continue de voir de manière permanente des phénomènes contraires à l'esprit et aux dispositions desdites lois, comme la bastonnade des citoyens manifestant pour exprimer leurs avis, l'atteinte à leurs dignités personnelles, la pratique de différentes sortes de torture dans les commissariats de police et dans les prisons, notamment contre  les militants de IRA et du mouvement 25 FEVRIER, avec des noms et des description des victimes de traitement inhumain.

Le député poursuit en disant que les pratiques dans les prisons Mauritaniens sont pires que celles des prisons sionistes.  Il fait porter l'entière responsabilité de ces agissements contre les citoyens  au ministre de la justice, et l’accuse d’avoir préféré  sa fonction et le  mensonge à sa dignité et les citoyens.

En effet devant la situation des femmes d’IRA et la torture qu’elles subissent devant le palais de justice on ne peut que vous en êtes le commanditaire

Enfin, et avant de demander le ministre de prendre les mesures adéquates pour punir les coupables dans les cas de torture, le député de TAWASSOUL a dénoncé l’interdiction de visites médicales aux détenus, rappelant c’est u n droit inaliénables de ces derniers.

Dans son commentaire à la réponse du ministre, le vice président du parti TAWASSOUL a soulevé la question des SALAFISTES contre lesquels des cas de tortures sont signalés, considérant  que la dignité humaine doit être respectée quelque soit le crime de la personne en question.